Articles – DVD Rugby et Toros

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By Zaragoza Clouds

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Jose Manrubia Pepe
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Lui, épris de désert, passionné de couleurs chaudes, de Vinci, Rivera, Giacometti, Warhol ou Picasso, a déchiré ces capes et muletas qu’il a peintes, comme les indiens se peignent le visage dans les deuils et pour passer à autre chose. Sans véritablement de nostalgie. Ou alors secrète. La philosophie du va-tout, incontestable signe de non retour. Paradoxe du personnage, car il est matador de toros et l’on ne se dépêtre jamais vraiment de ça même si on ne torée plus.
La quête du Mexique lui a beaucoup appris. Il y a connu l’alternative, les squats d’artistes, la terre qui tremble, le désert, la vitalité du jaguar, les Tarahumaras. La mesure de soi confrontée à la démesure d’un toro, d’un pays : México. Mais la démesure se nourrit de finesse et de mixture tout comme ses oeuvres.
La tauromachie qui est une démesure millimétrée mixe elle aussi le sable ou le marbre. Elle fut pour lui une façon de toucher le ciel, tous les différents chemins artistiques que José Manrubia explore désormais le sont aussi.

Extrait d’un texte de l’écrivain Jacques Durand.

TRAJECTOIRE PICTURALE

1990-1994 Fréquente le squat d’artistes de Coyoacan (México) participe à plusieurs expériences d’art urbain.
1996 Création en Performance d’une toile monumentale de 100 m2, accrochée à l’amphithéâtre d’Arles.
2001 Première exposition. Aix-en-Provence.
2002 Expositions: Marseille.   Bayonne.   Nîmes.
Galerie virtuelle, toreria.net.
2003 Vergèze. Marseille. Arles. Nîmes. Mouriés. Saint Rémy de Provence.
2004 Marathon artistique ; 20 expositions.
Présentation internationale à Aguascalientes (Mex).
2005 Arles.   Montpellier.   Sainte Tulle.   Paris.
2006 Paris.    Grimaud.   Saint Rémy.
2007 Séoul (Corée). Dallas (USA). Paris. Maussane. Vic. Bayonne. Sommières. Nîmes.
2008 Arles.   Nîmes.   Lyon.   Paris.  Saint Rémy. Bayonne.   Madrid.   CanCun (Mex).

Présent au Fonds National d’Art Contemporain, par l’acquisition faite par Renaud Donnedieu de Vabres, Ministre de la Culture en 2005.

 

Laure Donnedieu De Vabres
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Laure Donnedieu a découvert le monde de la tauromachie il y a 25 ans et s’y est intéressée progressivement sous différentes formes.Depuis, elle a développé plusieurs initiatives dans ce domaine, notamment en créant une société d’organisation de séminaires taurins dans la région de Nîmes et maintenant en étant propriétaire avec son mari d’une ganaderia (élevage de « toros » espagnols).Après une formation dans plusieurs ateliers, elle s’est spécialisée dans la peinture taurine sous toutes ses formes : corrida à pied, à cheval, campo, attitudes, etc…, au départ de façon très figurative sur toile de jute.

Petit à petit, elle a évolué vers une démarche plus abstraite, mettant en avant le mouvement et la couleur qui caractérisent tant le monde de la corrida.

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Charles Brennus
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Charles Brennus est né à Châteaudun le 30 novembre 1859, et mort au Mans le 23 décembre 1943. Son vrai nom est Brennus Ambriorix Crosnier. Il exerçait la profession de maître graveur, et fut le Président d’honneur de la Fédération française de rugby en 1921. Il fit prendre forme à son bouclier (voir Bouclier de Brennus) grâce à un dessin initial du baron Pierre de Coubertin, alors secrétaire de l’Union des sociétés françaises de sports athlétiques (USFSA), en 1892. Lui-même présida la commission de rugby de l’USFSA durant plus d’un quart de siècle, jusqu’en 1919. À ce titre, il s’occupait de l’organisation pratique des matchs de rugby sur le territoire français, et manageait l’équipe de France. Il était surnommé « Le Père Brennus » par les dirigeants et supporters de clubs.

Il fut également le fondateur du SCUF.

 

Bouclier de Brennus
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Le Bouclier de Brennus fut créé en 1892 afin de récompenser le futur vainqueur de la première finale du Championnat de France de Rugby qui devait avoir lieu le 20 mars de cette année-là.

Cette première finale d’un championnat de France de Rugby avait été voulu et décidé par le Baron Pierre de Coubertin, président de l’Union des Sociétés Françaises de Sports Athlétiques chargée du championnat – la Fédération française de rugby n’existant pas encore à cette époque.

Il allait arbitrer cette première finale et offrir un Bouclier à son vainqueur, une récompense dans l’esprit de ce sport de combat ! Il dessina ce Bouclier et choisit un graveur sur cuivre qui s’appelait Brennus Ambriorix Crosnier dit Charles Brennus.

La création de ce trophée est mentionné dans un article de 1892 de Sports Athlétiques, journal de l’USFSA :

« C’est au Baron Pierre de Coubertin, que revint la lourde tâche matérielle (…), c’est lui qui voulut bien se charger des délicates fonctions d’arbitre (…), c’est également lui qui offrit le challenge dont le club vainqueur eut la charge : un magnifique bouclier damasquiné, au centre les armes de l’Union, deux anneaux enlacés et la devise « Ludus Pro Patria ».

Monté sur un magnifique cadre de peluche rouge, cet objet d’art fait le plus grand honneur à celui qui l’a conçu. Nous croyons savoir que l’auteur n’est autre que le dévoué et sympathique secrétaire de l’Union… »

* La devise « Ludus Pro Patria » signifie « Des jeux pour la Patrie » et fut proposée par Jules Marcadet, cofondateur du Stade Français et de l’Union des Sociétés françaises de Courses à pied, embryon des futures fédérations
* Le bouclier récompense traditionnellement le club champion de France de rugby depuis 1892, cependant jusqu’en 1899 la finale du championnat était uniquement réservée aux clubs parisiens.
* La partie en bois du bouclier fut rénovée dans les années 90 à la suite de célébrations d’après-match mouvementées.
* Le surnom du bouclier est « le bout de bois ». La traduction occitane « lou Planchot » est également très souvent utilisée.

Le premier club à avoir remporté le Bouclier de Brennus est le Racing club de France en 1892. Le premier club de la province à le remporter était le Stade bordelais en 1899.

Le dernier club à remporter le bouclier pour la toute première fois était La Voulte sportif en 1970.

Au total 26 clubs ont remporté le bouclier, par ordre chronologique ils sont :

* 1892 – Racing club de France
* 1893 – Stade français
* 1894 – Stade français
* 1895 – Stade français
* 1896 – Olympique de Paris
* 1897 – Stade français
* 1898 – Stade français
* 1899 – Stade bordelais
* 1900 – Racing Club de France
* 1901 – Stade français
* 1902 – Racing Club de France
* 1903 – Stade français
* 1904 – Stade Bordelais
* 1905 – Stade Bordelais
* 1906 – Stade Bordelais
* 1907 – Stade Bordelais
* 1908 – Stade français
* 1909 – Stade Bordelais
* 1910 – FC Lyon
* 1911 – Stade Bordelais
* 1912 – Stade toulousain
* 1913 – Aviron bayonnais
* 1914 – USAP Perpignan
* 1920 – Stadoceste tarbais
* 1921 – USAP Perpignan
* 1922 – Stade toulousain
* 1923 – Stade toulousain
* 1924 – Stade toulousain
* 1925 – USAP Perpignan
* 1926 – Stade toulousain
* 1927 – Stade toulousain
* 1928 – Section paloise
* 1929 – US Quillan
* 1930 – SU Agen
* 1931 – RC Toulon
* 1932 – Lyon olympique universitaire
* 1933 – Lyon olympique universitaire
* 1934 – Aviron bayonnais
* 1935 – Biarritz olympique
* 1936 – RC Narbonne
* 1937 – CS Vienne
* 1938 – USAP Perpignan
* 1939 – Biarritz olympique
* 1943 – Aviron bayonnais
* 1944 – USAP Perpignan
* 1945 – SU Agen
* 1946 – Section Paloise
* 1947 – Stade toulousain
* 1948 – FC Lourdes
* 1949 – Castres olympique
* 1950 – Castres Olympique
* 1951 – US Carmaux
* 1952 – FC Lourdes
* 1953 – FC Lourdes
* 1954 – FC Grenoble
* 1955 – USAP Perpignan
* 1956 – FC Lourdes
* 1957 – FC Lourdes
* 1958 – FC Lourdes
* 1959 – Racing Club de France
* 1960 – FC Lourdes
* 1961 – AS Béziers
* 1962 – SU Agen
* 1963 – Stade montois
* 1964 – Section Paloise
* 1965 – SU Agen
* 1966 – SU Agen
* 1967 – US Montauban
* 1968 – FC Lourdes
* 1969 – CA Bègles
* 1970 – La Voulte Sportif
* 1971 – AS Béziers
* 1972 – AS Béziers
* 1973 – Stadoceste Tarbais
* 1974 – AS Béziers
* 1975 – AS Béziers
* 1976 – SU Agen
* 1977 – AS Béziers
* 1978 – AS Béziers
* 1979 – RC Narbonne
* 1980 – AS Béziers
* 1981 – AS Béziers
* 1982 – SU Agen
* 1983 – AS Béziers
* 1984 – AS Béziers
* 1985 – Stade toulousain
* 1986 – Stade toulousain
* 1987 – RC Toulon
* 1988 – SU Agen
* 1989 – Stade toulousain
* 1990 – Racing Club de France
* 1991 – CA Bègles
* 1992 – RC Toulon
* 1993 – Castres Olympique
* 1994 – Stade toulousain
* 1995 – Stade toulousain
* 1996 – Stade toulousain
* 1997 – Stade toulousain
* 1998 – Stade français Paris
* 1999 – Stade toulousain
* 2000 – Stade français Paris
* 2001 – Stade toulousain
* 2002 – Biarritz olympique
* 2003 – Stade français Paris
* 2004 – Stade français Paris
* 2005 – Biarritz olympique
* 2006 – Biarritz olympique
* 2007 – Stade français Paris
* 2008 – Stade toulousain
* 2009 – USAP Perpignan

NOMBRE TOTAL DE VICTOIRES

* 17 titres et 3 sous titres
o Stade toulousain
* 13 titres
o Stade français
* 11 titres
o AS Béziers
* 8 titres
o SU Agen
o FC Lourdes
* 7 titres
o Stade bordelais
o USAP Perpignan
* 5 titres
o Stade français Paris
o Racing club de France
o Biarritz olympique
* 3 titres
o Aviron bayonnais
o Castres olympique
o RC Toulon
o Section paloise
* 2 titres
o CA Bègles
o Lyon olympique universitaire
o RC Narbonne
o Stadoceste tarbais
* 1 titre
o CS Vienne
o FC Grenoble
o FC Lyon
o La Voulte sportif
o Olympique de Paris
o Stade montois
o US Carmaux
o US Montauban
o US Quillan
o Stade Nantais UC

Les trois maudits !

Trois clubs incontournables du paysage rugbystique français n’ont jamais remporté le bouclier, bien qu’ayant participé à un total de 19 finales à eux trois.

Souvent appelés « les trois maudits » ces trois clubs sont:

* ASM Clermont Auvergne malheureux en 1936, 1937, 1970, 1978, 1994, 1999, 2001, 2007, 2008, 2009

* US Dax malheureux en 1956, 1961, 1963, 1966, 1973

* CA Brive malheureux en 1965, 1972, 1975, 1996

Finalistes malheureux

Au total 14 clubs ont échoué en finale du championnat de France et n’ont jamais eu l’honneur de soulever le précieux « bout de bois »,

* 10 finales:
o ASM Clermont Auvergne
* 5 finales:
o US Dax
* 4 finales:
o CA Brive
* 2 finales:
o SCUF
o Stade bagnérais
* 1 finale
o CS Bourgoin-Jallieu
o FC Lézignan
o Inter-Nos Paris
o RRC Nice
o SC Mazamet
o SOE Toulouse
o US Carcassonne
o US Cognac
o US Colomiers

 

100 ans de finales
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2007. Année historique. Le monde du rugby s’est donné rendez-vous en France pour un événement planétaire. La coupe du Monde s’est déroulée dans l’hexagone, comme une récompense pour le rugby français et son histoire.

Une occasion unique pour la France de découvrir la richesse du rugby, de se reconnaître dans ses valeurs.  Mais surtout de mieux comprendre et partager ce sport.

Plus qu’un sport, le rugby devient un spectacle, un spectacle qui rassemble les pratiquants et au-delà. Cet événement fut un formidable succès, les valeurs du rugby séduisent !

Le rugby français part aujourd’hui à la rencontre de son public, fort de ses qualités et de son histoire. Une histoire riche en mutations, épopées, aventures humaines individuelles et surtout collectives. Derrière la Coupe du Monde 2007, 115 ans de combat, de sueur, de joie, de rencontres et de solidarité se donnent rendez-vous.

D’un sport de copains à un sport professionnel, du Parc des Princes au Stade de France. Les 15 dernières années ont été riches en transformations…

Retour sur XV années pour comprendre l’évolution de ce sport ! D’hier à aujourd’hui, d’un Stade à un autre. Vivre et comprendre le rugby français n’est possible qu’à travers l’évocation du moment fort de la saison, la finale du championnat de France. Un moment riche en émotions où deux équipes luttent pour le Bouclier de Brennus.

Serge Simon qui a eu le bonheur de soulever deux fois « le bout de bois » ne se trompe pas. « Le rugby français dort pendant l’hiver, il végète. Il renaît pendant les phases finales qui sont le point d’orgue de la saison ; gamin, tu es structuré sur cette attente, ce rythme, la finale en devient un moment forcement incroyable »

Une finale, ce n’est rien d’autre qu’un rêve de gosse, un moment de passion où la joie des vainqueurs transcende le jeu. Du perdant magnifique aux percées incroyables des trois-quarts, des polémiques aux instants magiques… Voyage dans le monde du rugby français à travers son point d’orgue et les rebonds, parfois capricieux, de son ballon.

Après 100 ans de Finale, produit en 92, Scope 2 s’est lancé le défi de replonger dans la mémoire du rugby français. Place à ces XV dernières années qui ont façonné les contours d’un sport devenu moderne. Retraités ou acteurs du Top 14, nos 120 témoins se livrent avec émotion sur leur passion. Une passion qui fait le sel de leur vie. Une passion partagée avec nos équipes de tournage.

1892-1992, les « 100 ans de finales » se terminent sur la désillusion de Serge Blanco finaliste inconsolable après la dernière défaite de sa carrière. Été 93, « Les rebonds de l’ovale » reprend le cours de l’histoire du rugby français. 1993, finale politique, finale polémique. Castres et Grenoble n’ont toujours pas la même vision de l’événement. Une finale dont l’arbitre Daniel Salles parle encore aujourd’hui avec difficulté…

Une finale à l’ancienne, les dernières heures du rugby amateur s’égrènent alors.  On entre dans l’ère moderne, à l’image des « Mammouths » de Grenoble appelés à disparaître.

15 ans de finale, 15 ans de changement mais aussi des traditions, des poids lourds du championnat qui résistent aux mutations. Le Stade Toulousain, centenaire, reste toujours jeune. En avance sur son temps, Toulouse signe une épopée historique. Son quadruplé entre 94 et 97 entre dans les livres d’histoire.

Toulouse égale un record qui date de 1903. Le Stade Toulousain réussit à prendre le tournant du professionnalisme. Il anticipe les évolutions du rugby qui se retrouve confronté à une décision majeure en 1995. L’IRB, l’International Rugby Board, décide d’autoriser les joueurs à devenir des professionnels, à vivre pleinement du sport et de leur passion.

Bouleversement dans le monde du rugby. Du jour au lendemain des bénévoles gèrent des pros, les joueurs créent un syndicat et des structures pour sauvegarder leurs intérêts. Désormais les joueurs sont des salariés. Fini « l’amateurisme marron » et la pluriactivité. Les gros pardessus doivent s’adapter, un club de rugby se dirige comme une entreprise. La préparation, les contrats, le monde du rugby se spécialise et entre peu à peu dans une logique de marché.

Les budgets explosent, le sponsoring s’affirme et des étrangers venus de l’hémisphère sud et d’Europe rejoignent le championnat. L’ovalie française s’internationalise.

Avec l’arrivée du professionnalisme un club revient au plus haut niveau et renaît de ses cendres. Tel un phénix, le Stade Français, premier finaliste de l’histoire, reprend sa place.

Symbole et moteur de cette révolution, Max Guazzini, homme de communication précipite le rugby dans l’ère du spectacle. Une nouvelle façon de concevoir ce sport, du champêtre aux paillettes. Une outrance décriée puis enviée une fois le bouclier reconquis. Patrick Sébastien et Brive avaient montré la voie. Il est possible de concilier le sport et la fête. Le Stade Français et sa démesure le prouvent encore aujourd’hui.

Aux côtés du Stade Toulousain et du Stade Français un autre club va marquer ces quinze années. Le pays basque et Biarritz s’installent dans l’élite du rugby français. Pour son Président Serge Blanco, une promesse est une promesse. La première grande star internationale du rugby français l’avait prédit au lendemain de sa défaite en finale en 1992, « On y reviendra et on la gagnera ».  Dix ans plus tard, le Biarritz Olympique « tombe » Agen au bout du match le plus spectaculaire et le plus haletant de ces XV dernières années. Le BO prend une nouvelle dimension et prend sa place dans le gotha du rugby français en signant un incroyable doublé en 2005 et 2006.

L’histoire s’achève provisoirement en 2007. Montferrand trois fois finalistes depuis 94 retrouve alors le Stade Français en finale avec une seule idée en tête, briser la malédiction de sept finales perdues. Une finale indécise qui résume ce qu’est le rugby d’aujourd’hui. Deux grandes équipes, du jeu spectaculaire, du suspens, une fête fantastique et un spectacle grandiose pour un souvenir mémorable.

Les finales font l’histoire, elles écrivent l’histoire. Dans les Rebonds de l’Ovale, elles sont revisitées pour livrer les plus beaux moments du rugby français et ses instants d’émotions collectives.

Lors du tournage, les équipes de Scope 2, sous la direction de Jacques Alain Raynaud, ont parcouru la France à la rencontre de joueurs mais aussi d’arbitres, de dirigeants, d’amateurs, de personnalités politiques ou d’hommes de lettres. Les témoins que nous avons rencontrés ont un point commun, ils ont joué ces finales. Perdues ou gagnées peu importe, ils ont participé. Même s’ils n’ont pas inscrit leur nom dans la saga du Brennus, l’avoir effleuré les a marqués pour la vie…

Confronter les images de l’effervescence des finales à celles qu’elles ont laissé dans la tête de ceux qui les ont vécues permet aux Rebonds de l’ovale de jeter un regard global sur l’évolution du rugby. Dans cette histoire, les finales elles-mêmes deviennent actrices, elles sont revisitées pour livrer les plus beaux mouvements du rugby français et ses instants d’émotions collectives.

La mémoire, l’émotion, le temps qui passe, une réflexion pleine de rebonds, un film qui permet de vivre l’essence du RUGBY, de combler le fossé des générations par l’amour des valeurs qu’il est bon de rappeler. « Les Rebonds de l’ovale » parle du passé mais construit l’avenir. Il raconte un Bouclier de BRENNUS cabossé par l’histoire et la passion. Du Parc des Princes au Stade de France, l’invitation est lancée, pour un voyage au cœur du temps !

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